Ma décision de diffuser le programme en question ne m'a pas valu, personnellement, de pressions. En revanche, nous avons estimé que le risque potentiel que l'on faisait courir au chiffre d'affaires de la régie n'avait pas à être pris en compte, dès lors que nous sommes financés à 85 % par de l'argent public. C'est précisément parce que nous sommes France Télévisions que nous devons ne pas anticiper un tel risque.