Monsieur le secrétaire général adjoint, merci des précisions que vous avez apportées. Nous sommes fiers de savoir qu'un Français exerce l'une des plus hautes responsabilités au sein des Nations unies, avec tant de difficultés à résoudre.
Je voudrais revenir sur les contributions financières des opérations de maintien de la paix (OMP). C'est un discours que vous aviez tenu à notre délégation lorsque nous vous avions rencontré à New York. Quand on regarde la répartition des contributions, on s'aperçoit qu'un certain nombre de pays font beaucoup d'efforts - États-Unis, Allemagne, Japon, qui n'est paradoxalement pas membre du Conseil de sécurité - alors que d'autres grands pays qui jouent sur cette scène un rôle important, comme la Russie, retardent leurs paiements, ou ne font manifestement pas partie des plus gros contributeurs. La Chine elle-même doit contribuer moins que la France - de l'ordre de 5 %...