J’entends les arguments qui ont été exposés par M. le secrétaire d’État et par M. Courteau, avec qui je suis tout à fait d’accord pour souligner que la situation actuelle a des causes multiples.
Simplement, je ne crois pas que l’UICN soit une institution fantaisiste. Ceux qui y travaillent ont une expertise utile, sur laquelle il est bon de s’appuyer. Lorsqu’ils disent que certaines espèces sont en danger, j’ai tendance à les croire, parce que ce sont des gens sérieux.
Toujours est-il que, en effet, c’est au niveau européen que les décisions se prennent. Pour ne pas alourdir inutilement la proposition de loi, je retire l’amendement, madame la présidente.