L’avenir des fonds marins est donc un véritable sujet de préoccupation.
La pêche au chalut n’est plus admissible, car, nous le savons tous, elle détruit tout sur son passage : il ne s’agit pas seulement de pêche, mais de destruction des fonds marins. Une fois que l’on a acté ce problème, il faut aussi tenir compte du fait que rien n’avancera sans les pêcheurs.
Nous avons évoqué ce sujet et nous l’avons fait progresser en proposant, les uns et les autres, des amendements. Mais une négociation est aujourd’hui en cours, et je suis favorable, pour ma part, à ce qu’on la laisse aller à son terme.