C'est en effet un point majeur : il n'y a pas aujourd'hui d'harmonisation des modes de fonctionnement des CPP qui les placerait en situation d'égalité lors de la transmission de protocoles, ne serait-ce que pour des raisons liées aux différences de moyens informatiques, de compétences dans des spécialités comme l'oncologie ou la pédiatrie, ou d'expertise des membres qui les composent. Nous avons une seule agence du médicament et 40 CPP qui sont vus, perçus ou ne fonctionnent pas de la même façon. Leur fonctionnement et leur capacité à appréhender les différents protocoles peuvent sans doute être assurés, mais je maintiens que tous les CPP ne pourront pas être aussi compétents les uns que les autres, dans des domaines très spécialisés.