Je me rappelle de l’exemple de viticulteurs de l’Entre-deux-Mers, qui s’étaient d’ailleurs engagés peu de temps auparavant : il y a des situations où, du jour au lendemain, tout un projet peut être remis en cause qui s’inscrivait pourtant dans du moyen terme. J’ai vu la même chose dans l’Aude, lorsqu’il y a eu de la grêle sur 1 500 à 2 000 hectares : pour les producteurs du Minervois, cela a été terrible.
Il faut donc l’aide de l’État, bien sûr, mais il faut aussi qu’une mutualisation se mette en place.