En effet, si on passe par le système financier, ce qui sera légitime et normal, il faut que les aides potentielles destinées à faire face aux aléas retournent chez les agriculteurs au coût minimal d’une épargne de précaution. Voilà l’enjeu, voilà la logique que nous allons suivre.
C’est la raison pour laquelle cette proposition de résolution, dont j’espère qu’elle sera adoptée, est importante : elle permet d’ouvrir un débat qui se poursuivra. Une évaluation sera effectuée en 2017, avant la réforme de 2020. Ceux qui nous suivront et qui auront alors à négocier trouveront donc sur la table un certain nombre de réflexions qui pourront les aider. Merci en tout cas pour ce débat !