Monsieur le professeur, vous avez dit que l'on avait autant souffert de l'action de M. Bush que de l'inaction de M. Obama, que tout ce qui est religieux est politique et que tout ce qui est politique est religieux, enfin que l'interventionnisme était dans nos gènes et qu'on nous demande d'agir lorsque nous n'intervenons pas. C'est une situation très compliquée, que vous expliquez de manière très simple, avec votre propre analyse. Aujourd'hui, si vous étiez conseiller du Président de République française, que lui suggéreriez-vous ?