L'interdiction de la sous-traitance visait à la collaboration entre, d'une part, un opérateur privé et, d'autre part, soit un service d'une collectivité, soit même l'Inrap. J'en viens maintenant à l'agrément délivré par le CNRA, avec lequel nous travaillions très bien jusque récemment. Le CNRA rassemble des représentants de tous horizons, sauf des opérateurs privés ! Par ailleurs, il est censé donner un avis scientifique, que le ministre suivait jusqu'à présent. Or, récemment, le ministère a pris une décision contraire à l'avis de cet organisme. On sent donc bien une intervention régalienne dans la chaîne des décisions.