Je me réjouis que vous soyez à l'écoute des parlementaires... Si vous les écoutez, peut-être les choses changeront-elles enfin.
Depuis le 1er janvier, je suis sollicité presque chaque semaine par les maires et les associations du Morbihan sur les « dents creuses » situées dans les hameaux, rendues inconstructibles par la loi Alur et l'application extensive de la loi Littoral. Les « PLUmés », propriétaires de terrains devenus inconstructibles, sont nombreux, croyez-moi ! Si l'on ne rend pas possibles de nouvelles constructions en assouplissant la loi, de nombreux hameaux bretons mourront, tout simplement. J'ai écrit à Mme Pinel : elle a reconnu l'existence d'incertitudes, la nécessité d'amplifier le travail de pédagogie de services déconcentrés de l'État, et indiqué que le prochain chantier consistera à définir le hameau, notion variable d'un territoire à un autre... Il y a manifestement des choses à préciser !