Et les témoignages s’accumulent !
Nous rejetons la violence de quelques casseurs. Elle dessert les mouvements. D’ailleurs, elle est utilisée – la droite vient encore de le faire – pour tenter de discréditer les mobilisations.
Nous connaissons aussi la fatigue des policiers et la dangerosité de l’exécution d’ordres mettant en cause leur sécurité et celle des manifestants.
Mais les comportements inadmissibles formellement constatés se multiplient. L’usage de la force est disproportionné : utilisation massive de gaz lacrymogènes et, plus grave, de nouveaux lanceurs de balles de défense, qui ont fait perdre un œil à un jeune étudiant en géographie de vingt et un ans !