Le gel tardif – cela arrive – que vous avez évoqué aura des conséquences sur la récolte de 2016. Le Gouvernement est évidemment mobilisé.
Il faudra évaluer les conséquences économiques lors de la récolte, ou au moment où elle aurait dû avoir lieu. Vous avez évoqué des possibilités d’allégement ou de report des charges. Les questions d’achats et de stocks liées à ces vignobles devront également être abordées.
Vous le savez, nous avons eu à plusieurs reprises des débats au sujet d’accidents climatiques très importants. Là, il s’agit de gel. Nous avons connu des sécheresses, mais aussi des grêles ayant causé de graves dégâts.
Nous avons eu un débat avec Gérard César sur l’assurance qu’il est nécessaire de mettre en œuvre pour parvenir à faire face à ces aléas climatiques. Sur ce sujet, nous avons beaucoup progressé. Il faut encore avancer. Des propositions supplémentaires sont attendues.
Sur cette question, comme sur d’autres, le Gouvernement est aux côtés de viticulteurs. Il mettra en œuvre toutes les dispositions nécessaires pour leur permettre de faire face à une situation effectivement difficile.