Notre collègue Richard Yung évoquait le fait que c'est de la Société Générale qu'on a le plus parlé dans l'affaire des Panama Papers. Sans doute parce qu'elle comptait le plus grand nombre de sociétés offshore - 485 en 2011, et jusqu'à soixante-six à l'heure actuelle - avez-vous dit tout à l'heure.
La diminution de leur nombre est-elle le fait, comme dans les établissements bancaires qui viennent d'être cités, de l'externalisation des comptes, ou est-ce dû à la fermeture pure et simple ?
Par ailleurs, concernant les soixante-six sociétés restantes, la stratégie de la Société Générale est-elle de les fermer complètement ou allez-vous en conserver quelques-uns ? Dans l'affirmative, pour quelles raisons ?
Enfin, on a parlé de Mossack Fonseca, mais y a-t-il d'autres comptes offshore chez d'autres opérateurs, et si oui combien ?