Je vais le retirer, monsieur le président.
On parle tout le temps, et on le fait assez bien, de ce qui nous oppose, de ce qui ne va pas. En l’occurrence, il est important d’acter que notre assemblée, sur toutes ses travées, est d’accord. Qu’il s’agisse de Brigitte Gonthier-Maurin, ancienne présidente de la délégation aux droits des femmes, de Chantal Jouanno ou de Patrick Chaize, nous avons tous consacré du temps à cette question. Certes, il serait peut-être superflu d’ajouter la menace au délit qui est déjà prévu.
Néanmoins, toutes les associations féministes qui ont passé des heures à convaincre tout le monde auront entendu qu’il s’agit d’un combat que nous menons tous, car la cause est noble.