Oui, sur le principe, monsieur le président.
Toutefois, j’aimerais que le rapporteur, en qui j’ai la plus grande confiance, nous explique si ses réticences sont liées à des problèmes techniques ou s’il estime simplement que tous les trois ans, c’est trop.
Si un délai de trois ans n’offre pas le recul suffisant et ne permet d’aboutir qu’à un travail bâclé, cela ne sert effectivement à rien. L’objectif de transparence ne serait pas atteint, ce qui serait contre-productif.
Si vous nous dites ici, et Mme la secrétaire d’État aussi, qu’un délai de cinq ans permet de disposer du recul nécessaire pour travailler efficacement et rendre un bon rapport, et par conséquent accroître la transparence, nous serons d’accord pour bouger.