Avant de diriger Total, vous avez fait un détour par la politique, au cabinet d'Édouard Balladur puis à la tête de celui de François Fillon. Je m'étonne de vous entendre dire que vous ne vous intéressez pas à l'électricité... Certes, le secteur est peu attractif ; dimanche dernier, les Allemands ont vendu de l'énergie à un prix négatif. Néanmoins, votre coeur de métier est l'énergie, EDF a besoin de capitaux. Pourquoi ne réfléchissez-vous pas à l'électricité de demain ?