Pour ma part, je partage le point de vue de Joël Labbé sur votre intervention : elle avait un accent de sincérité qui fait du bien...
Le capital d'Engie est aujourd'hui détenu à hauteur d'un peu plus de 32 % par l'État, et à 56 % par le public (actionnaires individuels et investisseurs institutionnels). Cette structure capitalistique peut-elle devenir un problème dans le futur ? Ou au contraire un atout ?
Je souhaite également vous faire part de mon sentiment sur votre groupe : j'ai l'impression qu'il y a une perte de lisibilité et de notoriété d'Engie, en comparaison avec l'image positive dont bénéficiait GDF-Suez. Il semble y avoir beaucoup moins de capillarité avec les territoires...
Enfin, pouvez-vous nous éclairer sur la stratégie de votre entreprise en matière de recherche ?