Madame la présidente, monsieur le président de la commission des affaires sociales, madame la rapporteur, mesdames, messieurs les sénateurs, notre ordre social repose sur le respect de la loi. La fraude remet en cause ce principe. Elle doit donc être combattue et nous ne pouvons que partager la légitime volonté de réprimer les manquements à la loi.
Néanmoins, ce n’est pas l’objet de cette proposition de loi. En l’état, elle pose de mauvaises questions et stigmatise celles et ceux qui traversent une période difficile, comme s’ils se complaisaient dans cette situation.