Nous sommes bien dans une deuxième étape, où la baisse des recettes n'est plus un problème. À plus long terme, la sécurisation des lieux et son coût sont plus importants. Il n'existe pourtant pas, à l'heure actuelle, de protocole bien défini par le ministère de la culture sur les mesures de sécurité à mettre en place. Certes, cela laisse de la flexibilité aux collectivités et aux organisateurs, qu'ils soient privés ou associatifs. Il faut se garder d'imposer des mesures disproportionnées. En somme, il s'agit de passer d'une gestion d'urgence à une gestion d'investissement, avec les abondements adéquats.