Cette réflexion est importante, monsieur Malhuret, mais si je ne devais recevoir ici, au Sénat, dans mes fonctions de président de la commission, que des interlocuteurs qui ont le même degré de démocratie que nous, leur nombre serait en chute libre ! Je comprends que l'on soulève la question en tant que familier de l'Asie, de l'Afrique, mais je peux dire que c'est un chantier bien large qui est devant nous...