Or vous ne sauverez ni ce texte ni malheureusement la SNCF, que vous avez sacrifiée et que vous rendez désormais incapable de faire face à l’ouverture à la concurrence.
En lâchant tout, vous avez cru éteindre l’incendie. Il n’en est rien, et le pays continue à subir une grève « incompréhensible », selon votre propre terme.
Devant ce qui n’est même plus une victoire à la Pyrrhus, devant ces reculades sur tous les fronts, ma question est simple : où est passé l’État ?