Sur six ou sept directeurs, la grande majorité sont des femmes. Aussi cette préoccupation est-elle au coeur de beaucoup de nos choix.
Il existe une multiplicité d'acteurs s'occupant de la francophonie : l'Agence universitaire de la Francophonie (AUF), le Centre international d'études pédagogiques (CIEP), l'OIF... Cela nuit peut-être à la lisibilité de notre action. Nous cherchons à donner à l'Institut français une réelle plus-value sur le sujet, autour de trois axes : promouvoir une image moderne de la langue française, développer les dispositifs de formation et d'apprentissage innovants, et soutenir l'action du réseau. Nous promouvons aussi la politique bilingue ou multilingue.
Le réseau ne nous ayant pas été rattaché, les fermetures d'instituts culturels sont l'affaire du Quai d'Orsay. Cela ne nous empêche pas d'avoir une activité européenne prononcée. Le Fonds de soutien franco-allemand d'action culturelle en pays tiers soutient certains de nos projets bilatéraux en Europe ou ailleurs.