Monsieur le secrétaire d'État, je vous remercie de votre réponse, mais vous savez comme moi que, malgré ces mesures, la sélection à l’entrée des universités continue d’exister et que, aujourd’hui, celles-ci ne sont pas en capacité de satisfaire le premier choix de l’ensemble des candidats.
C’est le résultat de votre politique de réduction aveugle des déficits publics, pour reprendre les termes du rapport de la stratégie nationale de l’enseignement supérieur, la StraNES. Une autre voie possible, présentée dans ce même rapport, consisterait à exclure le budget de l’enseignement supérieur du calcul des déficits publics. Ce serait là une politique de gauche, une politique de justice et d’égalité.