Pour certains sénateurs aussi ! Porter à deux ou trois ans, selon les cas, la durée de détention provisoire pour les mineurs mis en cause dans des procédures terroristes n'est pas neutre. Nous avons cependant été sensibles à l'argumentation de M. François Molins, procureur de la République de Paris, qui nous a convaincus de la nécessité de cette mesure.
L'article 7 est adopté dans la rédaction issue du Sénat.