Apparemment, ce n'est pas trop habituel, mais je souscris complètement aux remarques de nos collègues Retailleau et Bouchoux. Après l'émouvant exposé de notre collègue Percheron, je ne vais pas vous faire perdre votre temps, car je ne dirai pas mieux.
À mon sens, il n'y a pas d'excellence possible dans un désert de médiocrité. On ne peut tourner le dos à cette volonté d'innovation, d'excellence et de sélection mais si, dans le même temps, on laisse des universités entières à la traîne, cette excellence se révélera particulièrement fragile.