La remarque d'Alain Richard est très intéressante. Il y a un soupçon permanent à l'encontre des maires, qui nous conduit à tout réglementer. Je comprends ce que dit Mme Archimbaud mais le résultat de toutes ces dispositions est que, en Seine-Saint-Denis, tout le contingent préfectoral va au Dalo. Les autres personnes attendent le délai de trois ans puis elles déposent leur dossier de Dalo. C'est une logique infernale !
Il serait opportun de poser le débat en séance publique, mais il serait préférable que cela vienne plutôt de votre côté de l'hémicycle que du nôtre, monsieur Richard, sinon de quoi ne nous accusera-t-on pas !