L'amendement n° 102 évoque un vrai sujet : la capacité des médecins du travail à détecter les comportements des femmes salariées en souffrance en raison de violences subies dans le cadre de leur travail ou à l'extérieur. Je pourrais donner un avis favorable au 1° de cet amendement s'il limitait la mission du médecin du travail à « éviter toute altération de la santé des travailleurs du fait de leur travail ou du fait de violences subies par des femmes au travail » uniquement.