Cet amendement tend à préciser que la médecine scolaire participe aux missions de dépistage des troubles de l'apprentissage, au suivi des élèves en difficulté, au repérage des enfants victimes de maltraitance et à l'accueil des enfants malades et handicapés à tous les niveaux d'enseignement, mais qu'elle ne doit pas être la seule à le faire.