Je me suis rendue en Corée du Sud début septembre. J'ai parlé de STX à l'ambassadeur de France et à la directrice des services économiques, qui n'ont pas montré de signes d'inquiétude. La clé, d'après eux, réside dans la rédaction des critères de l'appel d'offres. Détenant un tiers des parts, l'État peut peser afin d'orienter le choix vers un consortium.