Vous avez raison, monsieur le Premier ministre, de vouloir lutter contre l’illettrisme, mais la politique de la langue ne peut se réduire à cette dimension. Quand on touche aux structures qui protègent notre langue en France, il faut envisager les problèmes dans leur globalité.
Monsieur le Premier ministre, pourriez-vous nous donner quelques informations sur la situation et nous indiquer quelles sont vos intentions dans ce domaine ? Une telle réforme de structures ne saurait intervenir qu’après un débat au Parlement et ne peut résulter d’une simple décision administrative.