Nous sommes bien sûr tous d’accord pour améliorer les dispositifs de lutte contre l’illettrisme, mais la politique de la langue française ne se résume pas à cela. Il est question de rattacher à la future agence de la langue française le Centre international d’études pédagogiques de Sèvres, qui jusqu’ici dépendait de vous, madame la ministre, ainsi que la Délégation générale à la langue française et aux langues de France, qui jusqu’ici relevait du ministère de la culture : cela témoigne de la complexité du problème !
Nous demandons la tenue d’un débat au Parlement sur la meilleure façon de protéger la langue française. Vous ne pouvez pas prendre de décision dans ce domaine sans que la représentation nationale ait eu à en connaître !