Monsieur le président, monsieur le ministre, en examinant le rapport d’activité 2015 de l’Institut français du cheval et de l’équitation, nous pouvons lire que cette dernière année a marqué la fin du fonctionnement du groupement d’intérêt public France-Haras, que le GIP a divisé par deux son chiffre d’affaires, par trois ses moyens en personnel et ses dépenses opérationnelles… Il en découle un résultat bénéficiaire attendu sur l’exercice 2015. On n’en attendait pas moins !
Ce bref emprunt au rapport d’activité illustre combien, en quelques années, la situation des Haras de France a été profondément bouleversée. Il est plus qu’évident que la mise en œuvre de la révision générale des politiques publiques des années 2008 à 2011 a porté un coup fatal à ces implantations, …