Voilà pourquoi, aujourd’hui, nous attendons beaucoup du Gouvernement.
Les faibles crédits actuellement accordés à la filière, à savoir 30 millions d’euros – excepté, bien entendu, les ressources provenant des jeux –, méritent d’être renforcés. Quand on voit quelle importance revêt l’économie du cheval, on se dit qu’un coup de pouce pourrait avoir des effets absolument extraordinaires !
En outre, il faut absolument se battre pour que l’on revienne, en la matière, à un taux réduit de TVA.
Mes chers collègues, le cheval a cette particularité d’intéresser un public dont le spectre social est extrêmement large.
Bien sûr, l’équitation a son élite. Je relève à cet égard qu’un certain nombre de cavaliers qui se sont illustrés aux jeux Olympiques de Rio sont issus du département de l’Orne.