Je souhaite réunir l’ensemble des acteurs qui s’intéressent à la filière pour trouver une solution à ce problème de fond.
Le PMU finance largement les sociétés mères qui organisent les courses. Ce système mutualisé, aujourd'hui copié par la Chine, a disparu en Italie. Il ne tiendra dans notre pays que si nous repensons l’ensemble du pari en ligne, car la baisse continue du nombre de parieurs au PMU remet en cause le financement global de la filière. Il faut avoir l’honnêteté de reconnaître que la baisse du taux de TVA ne résoudra pas tout.
Des efforts doivent également être faits du côté du fonctionnement des sociétés mères. Certaines s’y engagent de manière très claire, et il est très important de les soutenir et de les encourager à réduire leurs dépenses de fonctionnement pour investir une partie de leurs recettes dans l’avenir de la filière.
Nous devons trouver un équilibre nouveau grâce à la réforme du PMU et des sociétés mères. Vous avez relevé les propositions que je fais sur cette question.
Les paris représentent des recettes importantes pour l’État.