Notre rapport de juillet et notre PPRE répondent à un véritable projet politique. Nous devons arrêter de penser seulement les outre-mer au travers du prisme des fonds structurels. Il faut dépasser la logique des subventions et compensations pour pousser le développement endogène de nos territoires. C'est cela faire de la politique. Alors nous pouvons toujours nous rendre à Bruxelles mais nous n'arriverons à quelque chose qu'à la condition d'entraîner le Gouvernement avec nous. Notre succès sur les sucres spéciaux vient de ce que nous avons amené le Gouvernement à prendre ses responsabilités.