Je souhaite que l'opposition sénatoriale reconnaisse que cet amendement n'a plus aucune raison d'être du fait de la décision d'intégrer dans le tronc commun la deuxième langue vivante, qui était choisie par 92 % des élèves comme l'une des deux options de détermination.
La situation sera donc exactement la même que celle qui prévaut aujourd'hui.