Cette semaine encore, j’examinerai de tels dossiers de fermeture ; je l’ai fait dans le cadre de l’état d’urgence, je le refais dans le cadre du droit commun. En effet, si l’on veut protéger les musulmans de France et créer la relation que j’évoquais, il ne peut y avoir de lieux dans lesquels on appelle ou on provoque au terrorisme et à la haine.