Ce matin chez le Président Larcher, nos échanges ont été très positifs. Nous avons été très contents d'apprendre qu'il y avait déjà beaucoup d'accords entre votre pays et le nôtre, en particulier avec Peugeot et Citroën, mais aussi dans le domaine nucléaire civil, avec Airbus, etc.
Vous avez également indiqué que vous vouliez créer des groupes d'amitié interparlementaires ; nous ne pouvons que vous y encourager : les groupes interparlementaires d'amitié sont très intéressants pour les échanges entre les pays.
Nous avons également parlé du soutien bancaire. C'est un domaine très important qui n'aboutira qu'avec une vraie volonté politique. La France a, là, un rôle à jouer.
Vous savez que la France doit faire face à des menaces terroristes. Vous l'avez évoqué, et vous avez coopéré.
Vous avez également parlé du Liban et des excellentes relations que vous avez avec M. Frangié. Vous pourriez peut-être contribuer à faire émerger une solution pour mettre fin à la vacance du pouvoir...
En revanche, lors de cette réunion extrêmement riche et intéressante, nous n'avons pas parlé des Chrétiens d'Orient. Il me semble que nous devrions en parler à présent.