Vous avez besoin de renouveler votre flotte d'avions de ligne et un accord a été signé pour la vente de 118 Airbus. Or, le week-end dernier, vous avez signé avec Boeing pour l'achat de 100 avions. La « peur du gendarme » est forte de votre côté et du nôtre et seulement trois banques françaises assurent les flux financiers entre nos deux pays. Si rien ne bouge, pensez-vous que les accords signés en janvier dernier, lors de la visite de votre Président à Paris, verront le jour ?