Nous sommes tous conscients de la situation préoccupante qui est, depuis plusieurs années, celle de la langue allemande dans notre système d'enseignement.
Néanmoins, les politiques de quotas me laissent toujours sceptique. Or fixer des pourcentages d'augmentation de l'apprentissage de la langue allemande revient à fixer des quotas. Ces derniers sont susceptibles de constituer une entrave au libre choix des élèves et de leur famille ainsi qu'à l'élaboration des projets d'établissement.
Aussi préférons-nous substituer à ce pourcentage arbitraire le mot « significativement », qui démontrera la volonté du législateur d'augmenter l'enseignement de la langue allemande. En effet, pourquoi 20 % ? Pourquoi pas 19, 5 % ou 21, 5 % ?