Cet amendement tend à compléter le précédent. Il vise en effet à inscrire dans la loi l'apport précieux et particulier de l'action éducative et culturelle à l'étranger, afin d'orienter davantage les bacheliers vers l'enseignement supérieur français.
La coopération éducative, rappelons-le, est l'une des missions confiées à l'Agence pour l'enseignement français à l'étranger. Elle recueille d'ailleurs un large consensus. Les diverses actions menées participent en effet d'une coopération d'influence, la matière grise étant désormais un élément stratégique de la compétition internationale.
Nous devons cependant nous employer à inciter davantage les élèves achevant un programme français dans nos établissements secondaires à l'étranger, qui choisissent majoritairement des universités des pays de résidence ou des universités anglophones, à considérer avec plus d'intérêt la possibilité de poursuivre leurs études supérieures en France.