Concernant l'immobilier parisien, nous avions déjà souligné qu'une partie des crédits de la LPM provenait de cessions immobilières réalisées en région parisienne. En vous écoutant, on peut craindre que les recettes ne soient pas au rendez-vous à cause de la ville de Paris et de Sciences Po. Il nous appartiendra de mettre ce point en exergue. Nous devons réagir.
L'an dernier, compte tenu de la baisse du prix du baril de pétrole et de la forte consommation de carburant des armées, Bercy a opéré une retenue en fin d'exercice. Le prix du pétrole repartant à la hausse, va-t-on encore connaître des difficultés en fin d'exercice ?
Enfin, la fin de la déflation réelle est prévue pour la fin de 2018 ou le début de 2019. A-t-on réalisé une projection pour connaître le coût réel des personnels à partir de 2019 ?