Mes chers collègues, je le répète, l’amendement que nous présentons a le mérite d’être le seul qui soit cohérent. Il vise deux objectifs : premièrement, respecter l’équilibre des territoires en ne multipliant pas à l’infini les métropoles – quinze plus deux égalent dix-sept – et, deuxièmement, rétablir un équilibre et une équité rompus entre les capitales régionales puisqu'Orléans et Dijon sont les deux seules capitales de région ne bénéficiant pas du statut de métropole et ne pouvant pas, par conséquent, agir comme les autres capitales par leur politique auprès des autres collectivités territoriales et de l’État.
Cet amendement est donc équilibré ; son adoption permettrait de préserver l’aménagement du territoire et le monde rural et de donner satisfaction aux deux seules capitales régionales non métropoles.