Monsieur le président, il me semble que vous avez raison. En la matière, l'ajout d'une puce sur la carte d'identité permettrait d'atteindre 90 % des buts visés. En revanche, force est d'admettre qu'avec une telle méthode la détection de « vrais-faux titres », c'est-à-dire des titres viciés dès l'origine, resterait relativement difficile.
En l'occurrence, il faut se demander comment répondre au mieux aux objectifs en limitant au maximum les dérives. Nous sommes face à un calcul de risque.