Heureusement, l’Assemblée nationale a supprimé ce sous-salariat pour les jeunes.
Je n’oublie pas non plus vos propositions de modification de la loi de 1881, qui auraient conduit à des remises en cause essentielles de la liberté d’expression. Je me félicite que nous soyons revenus, non pas sur ces curiosités, madame la rapporteur, mais sur ces incongruités ! Il est d’ailleurs cocasse de vous entendre affirmer que le Gouvernement ferait n’importe quoi en matière de liberté d’expression quand vous avez défendu des amendements dont l’adoption aurait rendus imprescriptibles tous les délits de presse.
Par ailleurs, multiplier les questions préalables, comme le fait la majorité sénatoriale depuis la rentrée parlementaire, participe d’une posture qui fait plus de mal que de bien à la chambre haute.