Je reprends votre réflexion, monsieur le président, sur le fait que la Russie, la Chine et les États-Unis veulent « leur » Europe. Il serait donc intéressant d'avoir, à l'issue de la réunion du 11 janvier, une vision assez claire sur la façon dont ces grands pays considèrent l'Europe et ce qu'ils ont à lui proposer. Je ne sais pas de la compétence de laquelle de nos commissions un tel travail pourrait relever mais j'ai tout de même tendance à penser que c'est à la commission des affaires étrangères qu'il revient d'apporter son analyse et sa vision.