De même, le temps de travail maximal ne peut pas être à géométrie variable. Ces chauffeurs, on l’oublie souvent, ont la responsabilité de transporter des personnes sur la voie publique, dans des conditions optimales pour eux-mêmes, pour la sécurité routière, pour leur vie de famille.
Nous serons sans doute amenés à proposer d’autres outils de régulation dans les prochaines années. La vitalité du secteur n’y perdra pas. Gageons que la qualité de vie des chauffeurs et celle des consommateurs y gagneront !