Certes ! Mais on observe de plus en plus souvent que des autorités nommées, dépourvues de toute légitimité démocratique, s’arrogent le droit de dire aux représentants du peuple, voire au peuple lui-même, ce qu’il faut faire ou ne pas faire. Les propos que j’ai cités précédemment se résument ainsi : « Mesdames les électrices, messieurs les électeurs, surtout, ne croyez pas que l’on puisse faire une autre politique que la politique de restrictions menée depuis des années. »