Plusieurs constantes semblent se dégager :
1 - la nécessité de simplifier, qui apparaît comme une évidence partout, ce qui est assez rassurant car cela signifie que la dérive constatée en France s'observe aussi à l'étranger ;
2 - le besoin impératif de créer une structure indépendante pour garantir l'objectivité et induire une prudence dans la production de textes : les ministères ne veulent plus être responsables d'une charge administrative supplémentaire ;
3 - un regard partagé sur le mode de production des textes européens ;
4 - le constat que, malgré tous les efforts réalisés, l'action est insuffisante ou en tout cas pas valorisée.