La rapporteure pour l'Assemblée nationale souhaite en rester au principe d'interdiction de certains sites. Cela pose donc la question, débattue en première lecture, de la constitutionnalité du dispositif, au regard de la liberté d'expression. La rédaction retenue par le Sénat, plus consensuelle, aurait pu nous réunir ; nous ne pouvons en revanche que réitérer notre désaccord avec le retour à la rédaction de l'Assemblée.